Review par @eli.lit.pour.la.cause
ALERTE COUP DE COEUR!
Ma prescription pour ces semaines grises de novembre? Des vêtements confortables (communément appelés linge mou), des chaussettes de laine (tricotées par votre grand-mère idéalement), une doudou duveteuse, un breuvage bien chaud et, surtout, ce livre. Tous les éléments sont là pour passer un agréable moment et vous offrir une bonne dose de réconfort.
J’ai ADORÉ cette lecture tout en douceur et en sensibilité avec une note loufoque. Étant moi-même très anxieuse, je me suis souvent reconnue en Alice, cette femme marquée, mystérieuse et angoissée aux nombreuses habitudes et manies incontrôlables.
Comment se libérer des traumatismes du passé? Est-ce possible de vivre en maintenant une distance avec tous les gens qui nous entourent? Pourquoi en être rendu là? Comment une entreprise qui cherche à réunir les chaussettes orphelines à travers le monde peut réellement venir en aide aux gens? Énigmatique, n’est-ce pas?
Chaque moment de lecture en a été de pur bonheur. Se plonger dans ce livre, c’est comme retrouver ses pantoufles dans le confort de son foyer après une journée particulièrement éprouvante au boulot. Il se lit en toute simplicité tout en abordant des sujets qui sont loin d’être légers. J’ai traversé toute une gamme d’émotions durant ma lecture et comme ça m’a fait du bien! Les personnages sont attachants et émouvants, l’histoire est magnifiquement tricotée et que dire de la fin remplie de surprises! Une véritable réussite. Je comprends mieux tout l’engouement que ce livre a suscité chez nos cousins français.
Difficile de faire une critique plus élaborée de ce livre, car je ne voudrais surtout pas vous en dévoiler trop et risquer de vous gâcher le plaisir de le découvrir. Lisez-le, je suis certaine que vous serez comblé.e.
⭐ Ce que j’ai aimé :
+ Le personnage principal
+ L’entreprise loufoque au coeur de l’histoire
+ La prémisse énigmatique
+ La fin surprenante
⭐ Ce que j’ai moins aimé :
- Devoir réchauffer mon breuvage beaucoup trop souvent, car je l’oubliais toujours, trop prise par ma lecture.
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